Depuis le début de la téléphonie, on a considéré que "la paire de cuivre", c'est-à-dire le cordon utilisé pour connecter l'abonné à son central de raccordement, ne pouvait transmettre que la parole.

Puis on a essayé de lui faire transmettre d'autres informations et c'est ainsi que l'on a constaté qu'elle pouvait transmettre des signaux allant jusque 10 MHz, l'équivalent d'un canal télévision par exemple.

Pour l'ADSL, le but est de transmettre dans les deux sens, mais pas avec le même débit.

La distance de l'abonné à son central de raccordement a beaucoup d'importance.